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2012-01-30 – Musicwaves (Review)

Originally published in French at:
http://www.musicwaves.fr/frmChronique.aspx?pro_id=7938

Translation by Google:

Rating: 8.5/10 | There are records that develop a special atmosphere and “Great And Terrible Potions” belongs to this category. Omitting “Two False Idol” in Tunisia , this concept album is the debut album officially signed Ben Craven . Aside from the album art done by Roger Dean , known for his work with Yes , Uriah Heep , or Asia , Ben Craven assured the entire creative process of this album (production, writing, acting, singing and implementation arrangements). 

The first 9 tracks on the album is chained, the beaches are just three recent editions of single cut that will not bring anything to the lover of progressive rock (given the long versions). These three bonuses are IMHO the only problem with this cake and can simply leave it. 

“Diabolique”, the first composition, begins with a creaking door, a small line of piano worthy of a horror film (the the exorcist for example). The bass will come soon to punctuate the words and introduce captivating keyboards. You are now immersed for 45 minutes in this mysterious universe and it will be very difficult to stop listening before the door closes at the end of the title track. 

Throughout the album chords, tones, environments seem to refer to many prestigious artists. “The Conjurer” is an instrumental where the typical listener will find a bit of “Shine On Crazy Diamond” fromPink Floyd and to a lesser extent a few tears of Mike Oldfield . Lovers electric-acoustic guitar and piano will in turn literally transported by “Solace”. “No Specific Harm” and “Great and Terrible Potions,” both compositions the longest drive, they make about the world to a guitar Gilmourienne flawless. This title is a real achievement halfway between David Gilmour and Alan Parsons Project . 

Ben Craven alone achieved this feat of offering a concept album without soft underbelly, an album rather symphonic and instrumental. The song is put to good use sometimes with effects that enhance the cozy atmosphere. The few references cited are not exhaustive as there is wealth in this music. An original album that could turn loop in the plates. Videos in public should be able to convince the most skeptical of enter our intrinsic qualities of this artist. To our delight, Australia now occupies a growing place in our musical universe.

Or, the original French:

Note : 8.5/10 | Il y a des disques qui développent une atmosphère particulière et “Great And Terrible Potions” appartient à cette catégorie. Si l’on omet “Two False Idol” deTunisia, ce concept album est le premier album signé officiellement Ben Craven. Mis à part la pochette de l’album réalisée par Roger Dean, connu pour avoir travaillé avec Yes,Uriah Heep ou encore AsiaBen Craven a assuré l’intégralité du processus de création de cet opus (production, écriture, jeu, chant et réalisation des arrangements).

L’ensemble des 9 premiers titres de l’album est enchainé, les 3 dernières plages étant simplement des éditions single réduites qui n’apporteront rien à l’amateur de rock progressif (au vu des versions longues). Ces 3 bonus sont à mon humble avis le seul défaut de cette galette et permettent simplement de la quitter.

“Diabolique”, première composition, débute par un grincement de porte, une petite ligne de piano digne d’un film d’épouvante (l’exorciste par exemple). La basse viendra très vite ponctuer le propos et introduire des claviers envoutants. Vous voilà à présent plongé pour 45 minutes dans cet univers mystérieux et il vous sera très difficile de stopper l’écoute avant que la porte ne se referme à la fin du titre éponyme.

Tout au long de l’album des accords, des tonalités, des ambiances semblent faire référence à de nombreux artistes prestigieux. “The Conjurer” est un instrumental typique où l’auditeur attentif retrouvera un peu du “Shine On Crazy Diamonds” desPink Floyd et dans une moindre mesure quelques larmes de Mike Oldfield. Les amateurs de guitare électro-acoustique et de piano seront quant à eux littéralement transportés par “Solace”. “No Specific Harm” et “Great and Terrible Potions”, les deux compositions les plus longues du disque, font quant à elles la part belle à une guitare Gilmourienne sans faille. Ce dernier titre est une véritable réussite à mi-chemin entreDavid Gilmour et Alan Parson Project.

Ben Craven en solitaire réalise l’exploit d’offrir un concept album sans ventre mou, un album plutôt symphonique et instrumental. Le chant est utilisé à bon escient avec parfois quelques effets qui renforcent cette atmosphère feutrée. Les quelques références citées ne sont pas exhaustives tant il y a de richesse dans cette musique. Un album original qui risque de tourner en boucle dans les platines. Les vidéos en public devraient réussir à convaincre les plus sceptiques d’entres nous des qualités intrinsèques de cet artiste. Pour notre plus grand bonheur, l’Australie occupe désormais de plus en plus de place dans notre univers musical.